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Œuvres littéraires

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Le Projet El Dorado

Je m’appelle Marco Coltese, enfin c’est ainsi que mon créateur m’a nommé ! Un petit clin d’œil sans doute à un grand rival de la BD. On me dit aventurier ! Peut-être le suis-je. Si démarrer au quart de tour pour aller explorer des contrées qui me sont inconnues s’appelle aventure, alors oui je suis un aventurier. Je tiens cela de mon père. Mais je ne suis pas un Indiana Jones ! Non, je tiens à mon côté « frenchie ». C’est vrai, je me mets souvent dans des situations impossibles. C’est plus fort que moi. Après, il faut que je me démerde pour trouver une solution. En général, la chance me sourit.

Vous savez, si notre humanité n’avait pas eu des aventuriers, elle n’aurait jamais progressé. De l’Afrique au Moyen-Orient puis à l’Europe et à l’Amérique. Bientôt d’autres planètes, qui sait ?

Je suis géologue et archéologue. Un peu anthropologue, j’adore revivre les évènements du passé qui nous enseignent tellement sur notre environnement actuel.

Mes sentiments ? Je les cache, enfin tant que je peux. Mais parfois je ne les contrôle plus. Je fonce d’abord et j’analyse ensuite. C’est ma nature ! Chaque expérience me renforce et me prépare pour les suivantes.

Dans « Le Projet El Dorado » je vous emmène dans une saga mêlant l’Histoire précolombienne et la réalité de la guerre civile dans la Colombie des années 90. Rêve ou réalité ?

Le projet se dévoilera au fur et à mesure. Je n’y suis pour rien. C’est mon créateur qui en a la pleine responsabilité. Mais moi, je peux vous dire que lorsqu’il écrivait, c’est moi qui le guidais. J’ai pris la main sur sa plume ! Mais pas encore les droits sur son écriture !

Bienvenus à bord de notre Toyota pour traverser la Colombie.

Marco Coltese

Point Zéro

Le cœur du roman d’aventure se déroule sur un atoll. Le désormais célèbre atoll de Mururoa qui se situe en Polynésie française.  L’histoire se passe dans les années 1990 au moment de la reprise des essais nucléaires souterrains organisés par le gouvernement français. Cette décision intervient entre le traité d’interdiction partielle des essais nucléaires signé à Moscou en 1963, interdisant les essais atmosphériques, et le traité d’interdiction complète des essais nucléaires signé à New York en 1996.

Dans ce contexte la France est soutenue et surveillée par les Etats-Unis, surveillée et espionnée par les Russes, fortement critiquée par les pays du Pacifique Sud et Greenpeace. Cette dernière organisation a dépêché à deux reprises sa flotte dans la zone de l’atoll pour tenter de manifester et ralentir la mise en œuvre des essais. La flotte fut à chaque fois arraisonnée par la Marine Française. S’ensuivront des émeutes à Tahiti et des manifestations de personnalités célèbres en France comme en Polynésie.

C’est dans ces conditions critiques que l’auteur a choisi de planter le décor de son roman d’aventure. Ce dernier s’inspire d’évènements réels mais son intrigue et ses personnages sont totalement inventés. Marco Coltese est le personnage principal. Il est l’archétype du antihéros. Il est trop curieux et prend des risques guidés par son âme d’aventurier. Mais il en résulte des situations à la limite de sa survie. Il est aussi sensible à l’amitié et à l’influence des femmes.

Ce roman est la suite des aventures de Marco Coltese en Colombie : « Le Projet El Dorado ».

Contrairement au précédent roman, « Point Zéro » est chronologiquement linéaire et concentré sur ce microcosme artificiel créé par le gouvernement sur l’atoll. On y trouve Pierre, Jacques et Martine, employés du CEA (Commissariat à l’Energie Atomique), Jean et Julie en couverture pour le service d’information des Armées et agents de la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure), les autorités de la Marine Nationale et Noa le coiffeur tahitien de la zone de vie de l’atoll.

Tout se passe très bien et conformément au protocole des essais nucléaires jusqu’à ce que Marco Coltese découvre une faille dans la sécurité du site. Un intrus s’est infiltré sur l’atoll lors de la tentative d’intrusion de Greenpeace. Dans la confusion de cette attaque, un zodiac s’est introduit sur l’ile. Il s’agit d’un agent russe venu espionner les résultats des essais nucléaires. Un agent super entraîné qui va causer la mort d’un agent de la DGSE et de grosses frayeurs à Marco Coltese.

Pour finir, c’est l’organisation et la cohésion du microcosme militaire de l’atoll qui résoudra le problème. Quant à notre antihéros, il a gagné le cœur de Martine. Tous deux seront impliqués dans le dénouement final à Paris.

Le roman comprend plusieurs clins d’œil à l’actualité cinématographique et musicale de l’époque.

Sur cette page, c’est moi qui décide ! D’accord ? Mon créateur n’a qu’à bien se tenir ! Sinon, je lui coupe son inspiration. S’il s’imagine qu’il va tenir la vedette sur ce site, il se trompe gravement. Après tout, c’est moi le héros ! Non ?

Cela étant dit, je suis sûr qu’il va vous parler de mes aventures à Tahiti ou dans le désert Libyen. Ça ce sont de vrais sujets ! Mais le pauvre, il traîne trop à mon goût pour les écrire ces nouveaux romans. Il procrastine de trop ! Ben ouais ! Il veut soi-disant compléter ses informations avec des faits réels, de l’Histoire avec un grand H. Moi, je t’aurais vite torché tout ça ! J’ai tout en mémoire. Bon presque ! Ok, je concède qu’il y a des zones vagues.

Mais depuis qu’il a lu Dan Brown et participé à une masterclass avec Bernard Werber, il veut du solide. Il veut que ses lecteurs découvrent des faits réels. Moi, les faits réels, je peux vous les dire.

Quand on était à Mururoa pour la reprise des essais nucléaires ou en Libye pour chercher du pétrole ou de l’eau fossile, j’ai tout vu, tout vécu. Vous ne pouvez pas vous imaginer. D’ailleurs, il va vous le raconter. Je lui ai mis la pression.

Sur cette page, c’est moi qui décide ! D’accord ? Mon créateur n’a qu’à bien se tenir ! Sinon, je lui coupe son inspiration. S’il s’imagine qu’il va tenir la vedette sur ce site, il se trompe gravement. Après tout, c’est moi le héros ! Non ?

Cela étant dit, je suis sûr qu’il va vous parler de mes aventures à Tahiti ou dans le désert Libyen. Ça ce sont de vrais sujets ! Mais le pauvre, il traîne trop à mon goût pour les écrire ces nouveaux romans. Il procrastine de trop ! Ben ouais ! Il veut soi-disant compléter ses informations avec des faits réels, de l’Histoire avec un grand H. Moi, je t’aurais vite torché tout ça ! J’ai tout en mémoire. Bon presque ! Ok, je concède qu’il y a des zones vagues.

Mais depuis qu’il a lu Dan Brown et participé à une masterclass avec Bernard Werber, il veut du solide. Il veut que ses lecteurs découvrent des faits réels. Moi, les faits réels, je peux vous les dire.

Quand on était à Mururoa pour la reprise des essais nucléaires ou en Libye pour chercher du pétrole ou de l’eau fossile, j’ai tout vu, tout vécu. Vous ne pouvez pas vous imaginer. D’ailleurs, il va vous le raconter. Je lui ai mis la pression.

Bon, je vois que vous trépignez d’impatience, je vous livre donc un extrait du troisième roman de mon créateur :

Parti tôt ce matin de Tripoli, le petit Cessna 172 vole en rase-motte, cap à l’ouest. Le monomoteur à quatre places est chargé à bloc pour cette expédition dans le désert. Le pilote a dû improviser pour y loger les cinq membres de l’équipe d’archéologues. Une planche en guise de siège et des cordes pour sécuriser les deux passagers supplémentaires. Dans leur dos, un fût de 200 litres d’essence au cas où l’avion viendrait à se perdre dans le désert.

Le soleil est bientôt au zénith quand le pilote suisse prend la parole en criant pour couvrir le bruit du moteur.

– Nous approchons de la frontière algérienne. Dès que j’apercevrai les guérites, nous bifurquerons vers le Sud. Le problème, c’est qu’il y a très peu de guérites le long de cette frontière. Il ne faut donc pas les louper, sinon nous aurons des

problèmes en pénétrant l’espace aérien algérien. Soyez vigilants, si vous voyez

quelque chose, dites-le-moi !

–  Vous n’avez que votre boussole pour vous diriger ?

–  Oui, mais j’ai aussi mon plan de vol et le calcul de la distance par rapport au temps de vol, ça devrait aller, ne vous inquiétez pas !

Marco, le dos calé contre le fût d’essence, n’est pas très rassuré. Comme ses collègues, il inspecte fébrilement le sol à la recherche des guérites. Des dunes et encore des dunes, mais rien en vue. Le pilote reprend :

– Nous avons dû passer la frontière selon mes calculs. Je fais demi-tour.

Le Cessna amorce une courbe pour retourner vers la Libye. C’est alors que le pilote distingue une guérite.

– Vous voyez, on n’était pas loin. Mes calculs n’étaient pas mauvais ! Et maintenant cap au Sud.

Le nez collé aux vitres, Marco aperçoit un paysage merveilleux. Le paysage a changé. On distingue maintenant un socle calcaire de couleur grise, strié de dunes de couleur rousse. Le vent a dessiné ce paysage en mouvement lent mais continu. Les dunes bougent, couvrant et découvrant le socle et ses secrets. C’est pour cela que l’équipe est venue à Atshan, à la recherche de civilisations disparues.

La particularité de ce coin du désert est que les particules de sable sont si fines que le moindre vent lève aussitôt un nuage impénétrable de poussières. Une sorte de smog irrespirable. Mais c’est aussi ce qui explique le mouvement rapide des dunes vers le Nord.

Depuis des siècles, le désert avance et assèche des régions autrefois fertiles. Retrouver les restes des tribus qui y vivaient est le but de cette expédition.

– Regardez, dit le pilote, voici le camp de base. Vous voyez le derrick ? Ils ont creusé un puit pour trouver de l’eau. Atterrissage dans cinq minutes, vérifier vos ceintures de sécurité.

Un dernier looping et l’équipe se retrouve au sol sur la piste aménagée à la hâte par les bulldozers.

Le lendemain, Marco se retrouve au volant de la vieille Land Rover du camp. Cap au Nord sur une piste mouvementée. Il s’approche d’un lac asséché. Les restes de bois silicifiés témoignent du fait de leur disposition des contours du lac. C’est là qu’ils vont trouver des pointes de lances et de flèches en silex. Certaines font preuve d’une grande maîtrise de la taille des silex. Marco se pose au bord de ce lac vide et imagine la vie de ces tribus qui pêchaient et chassaient pour se nourrir dans une nature obsolète aujourd’hui.

A l’heure où nous parlons de changement climatique, l’Histoire et l’archéologie devrait nous permettre de mieux comprendre le futur de nos civilisations actuelles.

Bon, je vois que vous trépignez d’impatience, je vous livre donc un extrait du troisième roman de mon créateur :

Parti tôt ce matin de Tripoli, le petit Cessna 172 vole en rase-motte, cap à l’ouest. Le monomoteur à quatre places est chargé à bloc pour cette expédition dans le désert. Le pilote a dû improviser pour y loger les cinq membres de l’équipe d’archéologues. Une planche en guise de siège et des cordes pour sécuriser les deux passagers supplémentaires. Dans leur dos, un fût de 200 litres d’essence au cas où l’avion viendrait à se perdre dans le désert.

Le soleil est bientôt au zénith quand le pilote suisse prend la parole en criant pour couvrir le bruit du moteur.

– Nous approchons de la frontière algérienne. Dès que j’apercevrai les guérites, nous bifurquerons vers le Sud. Le problème, c’est qu’il y a très peu de guérites le long de cette frontière. Il ne faut donc pas les louper, sinon nous aurons des

problèmes en pénétrant l’espace aérien algérien. Soyez vigilants, si vous voyez

quelque chose, dites-le-moi !

–  Vous n’avez que votre boussole pour vous diriger ?

–  Oui, mais j’ai aussi mon plan de vol et le calcul de la distance par rapport au temps de vol, ça devrait aller, ne vous inquiétez pas !

Marco, le dos calé contre le fût d’essence, n’est pas très rassuré. Comme ses collègues, il inspecte fébrilement le sol à la recherche des guérites. Des dunes et encore des dunes, mais rien en vue. Le pilote reprend :

– Nous avons dû passer la frontière selon mes calculs. Je fais demi-tour.

Le Cessna amorce une courbe pour retourner vers la Libye. C’est alors que le pilote distingue une guérite.

– Vous voyez, on n’était pas loin. Mes calculs n’étaient pas mauvais ! Et maintenant cap au Sud.

Le nez collé aux vitres, Marco aperçoit un paysage merveilleux. Le paysage a changé. On distingue maintenant un socle calcaire de couleur grise, strié de dunes de couleur rousse. Le vent a dessiné ce paysage en mouvement lent mais continu. Les dunes bougent, couvrant et découvrant le socle et ses secrets. C’est pour cela que l’équipe est venue à Atshan, à la recherche de civilisations disparues.

La particularité de ce coin du désert est que les particules de sable sont si fines que le moindre vent lève aussitôt un nuage impénétrable de poussières. Une sorte de smog irrespirable. Mais c’est aussi ce qui explique le mouvement rapide des dunes vers le Nord.

Depuis des siècles, le désert avance et assèche des régions autrefois fertiles. Retrouver les restes des tribus qui y vivaient est le but de cette expédition.

– Regardez, dit le pilote, voici le camp de base. Vous voyez le derrick ? Ils ont creusé un puit pour trouver de l’eau. Atterrissage dans cinq minutes, vérifier vos ceintures de sécurité.

Un dernier looping et l’équipe se retrouve au sol sur la piste aménagée à la hâte par les bulldozers.

Le lendemain, Marco se retrouve au volant de la vieille Land Rover du camp. Cap au Nord sur une piste mouvementée. Il s’approche d’un lac asséché. Les restes de bois silicifiés témoignent du fait de leur disposition des contours du lac. C’est là qu’ils vont trouver des pointes de lances et de flèches en silex. Certaines font preuve d’une grande maîtrise de la taille des silex. Marco se pose au bord de ce lac vide et imagine la vie de ces tribus qui pêchaient et chassaient pour se nourrir dans une nature obsolète aujourd’hui.

A l’heure où nous parlons de changement climatique, l’Histoire et l’archéologie devrait nous permettre de mieux comprendre le futur de nos civilisations actuelles.